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воскресенье, 16 ноября 2014 г.

Actualites // V annee // Face à l'agressivité russe, Obama envisage de nouvelles options

La Maison-Blanche se trouve forcée de reconsidérer le danger russe et continue de demander à Paris de ne pas livrer les Mistral.
Barack Obama est à Brisbane pour le G20, mais le dossier russe le rattrape. Depuis trois jours, de nouveaux convois de troupes et des chars russes détectés par l'Otan ont passé la frontière orientale de l'Ukraine. Malgré la retenue de Kiev, les combats ont repris, achevant de mettre en pièces l'accord de cessez-le-feu signé à Minsk. «La situation est en train d'échapper à tout contrôle», a lancé l'ambassadeur américain à l'ONU, Samantha Power. Comme à leur habitude, les Russes ont démenti l'envoi de troupes. Mais l'Administration Obama se retrouve forcée de reconsidérer le danger russe. Un sujet que le président aurait aimé éviter. «Nous réfléchissons à de nouvelles mesures, a confié jeudi au Figaro un haut responsable de l'Administration américaine. Je ne peux révéler l'état de nos discussions internes, mais le président a clairement dit que si la Russie continuait à violer les règles du jeu, il y aurait des coûts supplémentaires. Nous discutons actuellement de ces coûts.»
Pour cette source, «il ne s'agit pas seulement d'imposer des coûts à la Russie, mais de permettre à l'Ukraine de traverser cette crise existentielle», «en lui apportant une aide appropriée, politique, économique et financière», mais aussi une «assistance dans le domaine de la défense et de la sécurité» alors qu'elle «est assaillie de toutes parts». Ce haut responsable affirme qu'«une aide militaire à l'Ukraine est discutée» dans ce cadre. Selon les experts, l'équipe présidentielle reste divisée, entre ceux, dont Obama, qui ne veulent pas militariser la réponse américaine et ceux, notamment au Pentagone, qui veulent faire plus.

Garder l'unité transatlantique

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