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среда, 25 июня 2014 г.

Conversation (IV annee) Top 10 des stéréotypes qu'ont les étrangers sur les Français

Top 10 des stéréotypes qu'ont les étrangers sur les Français
A l'étranger, les stéréotypes sur les Français ont la vie dure. Du béret à l'odeur, en passant par l'impolitesse et les cuisses de grenouilles, découvrez les dix clichés qu'ont les étrangers sur nous.



Les Français n'ont pas très bonne réputation dans le monde. Râleurs, hautains, orgueilleux seraient nos défauts, tout comme notre volonté de vouloir parler français à tout prix, même si l'on se trouve au plus loin de la civilisation. Aussi, les clichés sur les Français sont nombreux aux quatre coins du Globe. Alors, si vous vous préparez à partir en vacances à l'étranger, découvrez les dix clichés que les gens que vous croiserez auront sur vous :

- 10e) Les Français ont inventé les frites : Si la paternité des frites est donnée aux Français dans le monde, la Belgique la revendique également. Côté Français, on explique qu'elles sont nées sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation pommes Pont-Neuf. Seulement, selon l’historien belge Jo Gérard, les frites auraient existé dès la fin du XVIIe siècle chez nos voisins.

9e) Les Français ont la peau sur les os : Ce stéréotype apparaît comme un peu dépassé. Selon l'étude tri-annuelle ObEpi-Roche, l'obésité touchait en 2012 15 % de la population adulte, soit un peu plus de 6,9 millions d'obèses sur le territoire français. La moyenne française reste en dessous de plusieurs autres pays. A titre de comparaison, 31.8% des adultes américains sont obèses, et 32.8% des Mexicains ! 

8e) Les Français sont paresseux : Si les Français travaillent un peu moins, ils sont parmi les plus productifs du monde. Ainsi en 2011, la main-d'œuvre française générait 45.40 euros par heure travaillée, d'après une étude Eurostat relayée par le Figaro. Une performance qui se situe dans le haut du palmarès européen, tandis que la moyenne de l'Union Européenne s'établit à 31,90 euros et celle de la zone euro à 37 euros. À noter que la France devance l'Allemagne (42,30 euros) ou encore la Suède (44,40 euros). - 7e) Les Français sont malpolis : Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement réputés pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers. Un journaliste américain du journal Forbes, qui publie également le sondage de Skyscanner, vient à notre secours. Selon lui, "les Parisiens sont aussi désagréables les uns envers les autres qu’envers les étrangers. En dehors de Paris —et même à l’intérieur—, les gens peuvent se montrer aussi charmants qu’ailleurs"
- 6e) Les Françaises ne se rasent pas : Ce cliché complètement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, sous l'occupation et les bombardements, les femmes avaient d'autres priorités plutôt que de se raser. Selon le site de Braun, les Allemands par exemple sont plus adeptes de pilosité que nous.
 - 5e) Les Français se rendent tout le temps : C'est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la France avait succombé à l'Allemagne nazie, alors que l'Angleterre avait résisté aux bombardements. Seulement, la Grande-Bretagne est une île et n'est pas voisine de l'Allemagne...
- 4e) Les Français sont des mangeurs de grenouilles : Nos voisins britanniques nous surnomment "Froggies" et les allemands "FroggenFresser" (Bouffeurs de grenouilles). Pourtant, ce plat est aussi consommé en Indonésie, en Chine, en Croatie ou encore en Grèce. Ce n'est donc pas une coutume de l'Hexagone.
 - 3e) Les Français sentent mauvais : Selon un sondage BVA, 20% des Français zappent la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu'une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. A noter que l'une des capitales mondiales de la parfumerie est la petite ville de Grasse, en Provence. 
2e) Les Français sont petits : Ce stéréotype existe depuis Napoléon et n'a visiblement pas été révisé depuis. Or, sur un siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d'1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands. - 1er) Le béret, la baguette, la marinière et le vin : Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980. Aujourd'hui, il a néanmoins été détrôné par la casquette de baseball.


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 Top 10 des stéréotypes qu'ont les étrangers sur les Français
A l'étranger, les stéréotypes sur les Français ont la vie dure. Du béret à l'odeur, en passant par l'impolitesse et les cuisses de grenouilles, découvrez les dix clichés qu'ont les étrangers sur nous.


Les Français n'ont pas très bonne réputation dans le monde. Râleurs, hautains, orgueilleux seraient nos défauts, tout comme notre volonté de vouloir parler français à tout prix, même si l'on se trouve au plus loin de la civilisation. Aussi, les clichés sur les Français sont nombreux aux quatre coins du Globe. Alors, si vous vous préparez à partir en vacances à l'étranger, découvrez les dix clichés que les gens que vous croiserez auront sur vous :

- 10e) Les Français ont inventé les frites : Si la paternité des frites est donnée aux Français dans le monde, la Belgique la revendique également. Côté Français, on explique qu'elles sont nées sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation pommes Pont-Neuf. Seulement, selon l’historien belge Jo Gérard, les frites auraient existé dès la fin du XVIIe siècle chez nos voisins.

9e) Les Français ont la peau sur les os : Ce stéréotype apparaît comme un peu dépassé. Selon l'étude tri-annuelle ObEpi-Roche, l'obésité touchait en 2012 15 % de la population adulte, soit un peu plus de 6,9 millions d'obèses sur le territoire français. La moyenne française reste en dessous de plusieurs autres pays. A titre de comparaison, 31.8% des adultes américains sont obèses, et 32.8% des Mexicains ! 

8e) Les Français sont paresseux : Si les Français travaillent un peu moins, ils sont parmi les plus productifs du monde. Ainsi en 2011, la main-d'œuvre française générait 45.40 euros par heure travaillée, d'après une étude Eurostat relayée par le Figaro. Une performance qui se situe dans le haut du palmarès européen, tandis que la moyenne de l'Union Européenne s'établit à 31,90 euros et celle de la zone euro à 37 euros. À noter que la France devance l'Allemagne (42,30 euros) ou encore la Suède (44,40 euros). - 7e) Les Français sont malpolis : Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement réputés pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers. Un journaliste américain du journal Forbes, qui publie également le sondage de Skyscanner, vient à notre secours. Selon lui, "les Parisiens sont aussi désagréables les uns envers les autres qu’envers les étrangers. En dehors de Paris —et même à l’intérieur—, les gens peuvent se montrer aussi charmants qu’ailleurs"
- 6e) Les Françaises ne se rasent pas : Ce cliché complètement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, sous l'occupation et les bombardements, les femmes avaient d'autres priorités plutôt que de se raser. Selon le site de Braun, les Allemands par exemple sont plus adeptes de pilosité que nous.
 - 5e) Les Français se rendent tout le temps : C'est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la France avait succombé à l'Allemagne nazie, alors que l'Angleterre avait résisté aux bombardements. Seulement, la Grande-Bretagne est une île et n'est pas voisine de l'Allemagne...
- 4e) Les Français sont des mangeurs de grenouilles : Nos voisins britanniques nous surnomment "Froggies" et les allemands "FroggenFresser" (Bouffeurs de grenouilles). Pourtant, ce plat est aussi consommé en Indonésie, en Chine, en Croatie ou encore en Grèce. Ce n'est donc pas une coutume de l'Hexagone.
 - 3e) Les Français sentent mauvais : Selon un sondage BVA, 20% des Français zappent la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu'une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. A noter que l'une des capitales mondiales de la parfumerie est la petite ville de Grasse, en Provence. 
2e) Les Français sont petits : Ce stéréotype existe depuis Napoléon et n'a visiblement pas été révisé depuis. Or, sur un siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d'1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands. - 1er) Le béret, la baguette, la marinière et le vin : Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980. Aujourd'hui, il a néanmoins été détrôné par la casquette de baseball.


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 Top 10 des stéréotypes qu'ont les étrangers sur les Français
A l'étranger, les stéréotypes sur les Français ont la vie dure. Du béret à l'odeur, en passant par l'impolitesse et les cuisses de grenouilles, découvrez les dix clichés qu'ont les étrangers sur nous.


Les Français n'ont pas très bonne réputation dans le monde. Râleurs, hautains, orgueilleux seraient nos défauts, tout comme notre volonté de vouloir parler français à tout prix, même si l'on se trouve au plus loin de la civilisation. Aussi, les clichés sur les Français sont nombreux aux quatre coins du Globe. Alors, si vous vous préparez à partir en vacances à l'étranger, découvrez les dix clichés que les gens que vous croiserez auront sur vous :

- 10e) Les Français ont inventé les frites : Si la paternité des frites est donnée aux Français dans le monde, la Belgique la revendique également. Côté Français, on explique qu'elles sont nées sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation pommes Pont-Neuf. Seulement, selon l’historien belge Jo Gérard, les frites auraient existé dès la fin du XVIIe siècle chez nos voisins.

9e) Les Français ont la peau sur les os : Ce stéréotype apparaît comme un peu dépassé. Selon l'étude tri-annuelle ObEpi-Roche, l'obésité touchait en 2012 15 % de la population adulte, soit un peu plus de 6,9 millions d'obèses sur le territoire français. La moyenne française reste en dessous de plusieurs autres pays. A titre de comparaison, 31.8% des adultes américains sont obèses, et 32.8% des Mexicains ! 

8e) Les Français sont paresseux : Si les Français travaillent un peu moins, ils sont parmi les plus productifs du monde. Ainsi en 2011, la main-d'œuvre française générait 45.40 euros par heure travaillée, d'après une étude Eurostat relayée par le Figaro. Une performance qui se situe dans le haut du palmarès européen, tandis que la moyenne de l'Union Européenne s'établit à 31,90 euros et celle de la zone euro à 37 euros. À noter que la France devance l'Allemagne (42,30 euros) ou encore la Suède (44,40 euros). - 7e) Les Français sont malpolis : Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement réputés pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers. Un journaliste américain du journal Forbes, qui publie également le sondage de Skyscanner, vient à notre secours. Selon lui, "les Parisiens sont aussi désagréables les uns envers les autres qu’envers les étrangers. En dehors de Paris —et même à l’intérieur—, les gens peuvent se montrer aussi charmants qu’ailleurs" 
- 6e) Les Françaises ne se rasent pas : Ce cliché complètement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, sous l'occupation et les bombardements, les femmes avaient d'autres priorités plutôt que de se raser. Selon le site de Braun, les Allemands par exemple sont plus adeptes de pilosité que nous.
 - 5e) Les Français se rendent tout le temps : C'est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la France avait succombé à l'Allemagne nazie, alors que l'Angleterre avait résisté aux bombardements. Seulement, la Grande-Bretagne est une île et n'est pas voisine de l'Allemagne... 
- 4e) Les Français sont des mangeurs de grenouilles : Nos voisins britanniques nous surnomment "Froggies" et les allemands "FroggenFresser" (Bouffeurs de grenouilles). Pourtant, ce plat est aussi consommé en Indonésie, en Chine, en Croatie ou encore en Grèce. Ce n'est donc pas une coutume de l'Hexagone.
 - 3e) Les Français sentent mauvais : Selon un sondage BVA, 20% des Français zappent la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu'une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. A noter que l'une des capitales mondiales de la parfumerie est la petite ville de Grasse, en Provence. 
2e) Les Français sont petits : Ce stéréotype existe depuis Napoléon et n'a visiblement pas été révisé depuis. Or, sur un siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d'1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands. - 1er) Le béret, la baguette, la marinière et le vin : Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980. Aujourd'hui, il a néanmoins été détrôné par la casquette de baseball.


  








































































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A l'étranger, les stéréotypes sur les Français ont la vie dure. Du béret à l'odeur, en passant par l'impolitesse et les cuisses de grenouilles, découvrez les dix clichés qu'ont les étrangers sur nous.


Les Français n'ont pas très bonne réputation dans le monde. Râleurs, hautains, orgueilleux seraient nos défauts, tout comme notre volonté de vouloir parler français à tout prix, même si l'on se trouve au plus loin de la civilisation. Aussi, les clichés sur les Français sont nombreux aux quatre coins du Globe. Alors, si vous vous préparez à partir en vacances à l'étranger, découvrez les dix clichés que les gens que vous croiserez auront sur vous :

- 10e) Les Français ont inventé les frites : Si la paternité des frites est donnée aux Français dans le monde, la Belgique la revendique également. Côté Français, on explique qu'elles sont nées sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation pommes Pont-Neuf. Seulement, selon l’historien belge Jo Gérard, les frites auraient existé dès la fin du XVIIe siècle chez nos voisins.

9e) Les Français ont la peau sur les os : Ce stéréotype apparaît comme un peu dépassé. Selon l'étude tri-annuelle ObEpi-Roche, l'obésité touchait en 2012 15 % de la population adulte, soit un peu plus de 6,9 millions d'obèses sur le territoire français. La moyenne française reste en dessous de plusieurs autres pays. A titre de comparaison, 31.8% des adultes américains sont obèses, et 32.8% des Mexicains ! 

8e) Les Français sont paresseux : Si les Français travaillent un peu moins, ils sont parmi les plus productifs du monde. Ainsi en 2011, la main-d'œuvre française générait 45.40 euros par heure travaillée, d'après une étude Eurostat relayée par le Figaro. Une performance qui se situe dans le haut du palmarès européen, tandis que la moyenne de l'Union Européenne s'établit à 31,90 euros et celle de la zone euro à 37 euros. À noter que la France devance l'Allemagne (42,30 euros) ou encore la Suède (44,40 euros). - 7e) Les Français sont malpolis : Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement réputés pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers. Un journaliste américain du journal Forbes, qui publie également le sondage de Skyscanner, vient à notre secours. Selon lui, "les Parisiens sont aussi désagréables les uns envers les autres qu’envers les étrangers. En dehors de Paris —et même à l’intérieur—, les gens peuvent se montrer aussi charmants qu’ailleurs" 
- 6e) Les Françaises ne se rasent pas : Ce cliché complètement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, sous l'occupation et les bombardements, les femmes avaient d'autres priorités plutôt que de se raser. Selon le site de Braun, les Allemands par exemple sont plus adeptes de pilosité que nous.
 - 5e) Les Français se rendent tout le temps : C'est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la France avait succombé à l'Allemagne nazie, alors que l'Angleterre avait résisté aux bombardements. Seulement, la Grande-Bretagne est une île et n'est pas voisine de l'Allemagne... 
- 4e) Les Français sont des mangeurs de grenouilles : Nos voisins britanniques nous surnomment "Froggies" et les allemands "FroggenFresser" (Bouffeurs de grenouilles). Pourtant, ce plat est aussi consommé en Indonésie, en Chine, en Croatie ou encore en Grèce. Ce n'est donc pas une coutume de l'Hexagone.
 - 3e) Les Français sentent mauvais : Selon un sondage BVA, 20% des Français zappent la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu'une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. A noter que l'une des capitales mondiales de la parfumerie est la petite ville de Grasse, en Provence. 
2e) Les Français sont petits : Ce stéréotype existe depuis Napoléon et n'a visiblement pas été révisé depuis. Or, sur un siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d'1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands. - 1er) Le béret, la baguette, la marinière et le vin : Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980. Aujourd'hui, il a néanmoins été détrôné par la casquette de baseball.


  















































Top 10 des stéréotypes qu'ont les étrangers sur les Français
A l'étranger, les stéréotypes sur les Français ont la vie dure. Du béret à l'odeur, en passant par l'impolitesse et les cuisses de grenouilles, découvrez les dix clichés qu'ont les étrangers sur nous.


Les Français n'ont pas très bonne réputation dans le monde. Râleurs, hautains, orgueilleux seraient nos défauts, tout comme notre volonté de vouloir parler français à tout prix, même si l'on se trouve au plus loin de la civilisation. Aussi, les clichés sur les Français sont nombreux aux quatre coins du Globe. Alors, si vous vous préparez à partir en vacances à l'étranger, découvrez les dix clichés que les gens que vous croiserez auront sur vous :


- 10e) Les Français ont inventé les frites : Si la paternité des frites est donnée aux Français dans le monde, la Belgique la revendique également. Côté Français, on explique qu'elles sont nées sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation pommes Pont-Neuf. Seulement, selon l’historien belge Jo Gérard, les frites auraient existé dès la fin du XVIIe siècle chez nos voisins.
9e) Les Français ont la peau sur les os : Ce stéréotype apparaît comme un peu dépassé. Selon l'étude tri-annuelle ObEpi-Roche, l'obésité touchait en 2012 15 % de la population adulte, soit un peu plus de 6,9 millions d'obèses sur le territoire français. La moyenne française reste en dessous de plusieurs autres pays. A titre de comparaison, 31.8% des adultes américains sont obèses
8e) Les Français sont paresseux : Si les Français travaillent un peu moins, ils sont parmi les plus productifs du monde. Ainsi en 2011, la main-d'œuvre française générait 45.40 euros par heure travaillée, d'après une étude Eurostat relayée par le Figaro. Une performance qui se situe dans le haut du palmarès européen, tandis que la moyenne de l'Union Européenne s'établit à 31,90 euros et celle de la zone euro à 37 euros. À noter que la France devance l'Allemagne (42,30 euros) ou encore la Suède (44,40 euros).
 - 7e) Les Français sont malpolis : Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement réputés pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers. Un journaliste américain du journal Forbes, qui publie également le sondage de Skyscanner, vient à notre secours. Selon lui, "les Parisiens sont aussi désagréables les uns envers les autres qu’envers les étrangers. En dehors de Paris —et même à l’intérieur—, les gens peuvent se montrer aussi charmants qu’ailleurs", et 32.8% des Mexicains ! - 6e) Les Françaises ne se rasent pas : Ce cliché complètement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, sous l'occupation et les bombardements, les femmes avaient d'autres priorités plutôt que de se raser. Selon le site de Braun, les Allemands par exemple sont plus adeptes de pilosité que nous.
 - 5e) Les Français se rendent tout le temps : C'est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la France avait succombé à l'Allemagne nazie, alors que l'Angleterre avait résisté aux bombardements. Seulement, la Grande-Bretagne est une île et n'est pas voisine de l'Allemagne...
- 4e) Les Français sont des mangeurs de grenouilles : Nos voisins britanniques nous surnomment "Froggies" et les allemands "FroggenFresser" (Bouffeurs de grenouilles). Pourtant, ce plat est aussi consommé en Indonésie, en Chine, en Croatie ou encore en Grèce. Ce n'est donc pas une coutume de l'Hexagone.
- 3e) Les Français sentent mauvais : Selon un sondage BVA, 20% des Français zappent la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu'une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. A noter que l'une des capitales mondiales de la parfumerie est la petite ville de Grasse, en Provence. 
2e) Les Français sont petits : Ce stéréotype existe depuis Napoléon et n'a visiblement pas été révisé depuis. Or, sur un siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d'1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands.
 - 1er) Le béret, la baguette, la marinière et le vin : Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980. Aujourd'hui, il a néanmoins été détrôné par la casquette de baseball.




















Conversation (IV annee) Les clichés selon Patrick Chamoiseau

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Conversation (IV annee) Clichés/Stéréotypes

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Conversation (IV annee) Reportage Terrorisme menace mondial

понедельник, 2 июня 2014 г.

Conversation (IV annee) «Le passage de la stratégie des échecs, frontale, pyramidale, hiérarchique, à celle du jeu de go renforce le caractère déstabilisant de ce phénomène. »

«Le passage de la stratégie des échecs, frontale, pyramidale, hiérarchique, à celle du jeu de go renforce le caractère déstabilisant de ce phénomène. » Les futures guerres terroristes seront donc des systèmes d'exploitation de la violence à des fins politiques, tant nationales qu'internationales. L'acte guerrier terroriste, définissant de façon absolue le terroriste, doit influencer le cours de l'Histoire au profit d'une cause largement argumentée. Pour cela, le recours à des démonstrations violentes médiatisées doit être effectué. Fait guerrier par essence et par histoire, il tend à devenir, un moyen, simple d'emploi, peu coûteux, démonstratif, un fait d'arme pur derrière ses apparences, outil de « communication », d'échange, et un moyen de rééquilibrage pour les états faibles, pauvres, vis-à-vis d'états forts, riches, s'inscrivant pleinement dans une dialectique de guerre de révolution, se voulant le signe d'une nouvelle époque, d'une nouvelle ère, tout au moins de son Annonciation. De là son comportement médiatique cherchant toujours plus d'aura et d'oracles. Il ne faut pas se leurrer, des guerres terroristes existeront demain, véritable « petite guerre » au sens ou Clausewitz l'entend. Usant de sa faculté de décolonisation et de son caractère « épidémique » et « épidermique », le terrorisme utilise à la fois tout ce que les hommes, les arts et les sciences mettent à sa disposition. Il ne connaît alors aucune limite dans son action, car la force utilisée n'est pas le moyen de son expression mais son agent catalyseur propre. Il apparaît donc illusoire de croire à un principe de modération humanitaire en son sein. Le guerrier terroriste recherche lui, dans cette frénésie de la violence déployée, l'intensité et le soutien qu'il sent perdu. En se sentant perdu, il développe une politique du « toujours plus ». Son combat lui procure une existence même. La formule de Menachem Begin : « Nous combattons, donc nous sommes » prend ici toute sa valeur, car pour lui, il s'agit bel et bien d'exister et de le prouver, de ne plus voir son existence contestée ou niée, mais de rompre son isolement et de se faire entendre, l'acte étant d'abord communication, car il n'y aura pas demain de guerres terroristes, de guerres déformées, sans « spectacle » et « spectateur ». En fait, il fait confiance à la violence et à son développement, comme instrument d'une certitude, la sienne, mais fausse ou faussée. Cette violence, cette « monstrueuse affirmation de la certitude qui rend fou » selon les mots de Nietszsche, se développe d'elle-même par la suite, s'auto-reproduit et s'autogére. Les guerres de demain seront essentiellement des guerres asymétriques, des guerres terroristes, des guerres déformées, ne connaissant pas la forme idéale que prône l'Occident, c'est-à-dire une guerre de professionnel, une guerre propre, une guerre technologique. Bien au contraire, les guerres de demain seront des guerres brutales, des guerres « lâches », des guerres d'enfants et de kamikazes, des guerres d'actions sommaires, meurtrières, répétitives, fugaces et sans limites. Et, dans ces guerres de demain, aucune ne se soldera par une conclusion politique stable et durable. Nous l'avons montré, la guerre n'est plus le fait exclusif des Etats, mais le fait d'entités pour qui elle est « naturelle », à l'instar de l'organisation responsable des attentats du 11 septembre 2001. Or, en gommant ces légitimités étatiques, il est fort probable que nous ne puissions à travers le monde empêcher la multiplication des guerres dans lesquelles nous aurons à intervenir. La métamorphose est là : nous sommes tous au Front !

Conversation (IV annee) «Le terrorisme contemporain est un processus inscrit dans l'histoire. Il évolue, il mute, mais il reste. Il vient du passé, il participera au futur. »

«Le terrorisme contemporain est un processus inscrit dans l'histoire. Il évolue, il mute, mais il reste. Il vient du passé, il participera au futur. » Le maître et fondateur de cette secte est connu sous le nom de Hasan Ibn As-Sabbah (ou Hasan-i-sabbâh). Précurseur d'une véritable guerre de terreur aux opposants à ses conceptions politico-religieuses, par l'intermédiaire d'assassinats au poignard ; les assassins, véritables « élus » de leur secte, utilisant un poignard particulier lors de l'accomplissement de leurs missions salvatrices. Pour les victimes, les assassins étaient des fanatiques engagés dans une conspiration meurtrière contre la religion et la société. Pour les ismaéliens, ils formaient un corps d'élite dans la guerre contre les ennemis de l'Islam...(...) En frappant les oppresseurs et les usurpateurs, ils donnaient l'ultime preuve de leur foi et de leur loyauté, et se gagnaient une félicité éternelle immédiate ». L'analogie des Fidâ'î avec le Djihad et avec différentes mouvances et organisations paraît évidente. Elle coïncide avec l'utilisation d'une violence politico-religieuse visant des personnes établies et précises hier, mais particulièrement aveugle de nos jours car visant essentiellement de grandes concentrations de personnes. Analogie toujours, par l'usage d'une violence fanatique et paradoxalement désenchantée, n'ayant d'autre recours immédiat possible que celui de la « félicité éternelle », et ce, par le sacrifice. De plus, il nous faut noter, que dans le cas des Fidâ'î, tout comme dans celui du Djihad islamique et de la mouvance du parti de Dieu, il s'agit non seulement d'une violence interne au groupe politico-religieux concerné mais aussi et surtout, de la démonstration externe d'une ambition politique et religieuse d'intervention, d'ingérence, jadis régionale, mondiale de nos jours, l'aspect déstabilisateur de cette politique n'en étant pas le moindre signe. Mais le plus important est que le terrorisme se fantasme, se rêve, se projette comme un double parfait de ce qu'il veut détruire, il devient, il est, un Etat, légaliste et légitime, certes dans l'absurde mais aussi dans l'absolu; il juge, emprisonne, condamne et exécute ses verdicts, contre la société, devant l'Histoire. Tout terroriste est dès lors, légitimiste : il ne peut transgresser la loi, puisqu'il agit pour une plus grande loi, celle qu'il reconnaît comme sienne. Il n'assassine jamais, il exécute une sentence ; ainsi, lorsque suite à l'attentat dont il à fait l'objet le 12 octobre 1809, Napoléon interroge Friedrich Staps, celui-là même qui vient de tenter de le poignarder, il s'entend répondre: « vous tuer n'est pas un crime, c'est un devoir ». Dès lors, les guerres terroristes de demain ne peuvent être perçues de façon isolée, mais comprises comme éléments d'une stratégie globale. Les modèles du XIXème siècle et du XXème siècle, dans lesquels le terrorisme était cloisonné, sont balayés. Les référents nationaux conduisant aux conflits terroristes frontaliers peuvent apparaître vidés de leur substance, mais ils n'en demeurent pas moins ancrés dans les esprits amenant d'étonnantes résurgences. Le plan horizontal disparaît au profit d'une nouvelle dimension, celle du relief, de l'instantanéité, de l'ubiquité, de la profondeur. Le passage de la stratégie des échecs, frontale, pyramidale, hiérarchique, à celle du jeu de go, induisant une large volatilité dans l'espace, renforce le caractère déstabilisant de ce phénomène.

Conversation (IV annee) L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives. »

«L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives. » «... L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives. » Le fossé technologique qui s'élargit entre pays riches et pays pauvres (les guerres s'écoulent « historiquement » des pays pauvres vers les pays riches) sera sans doute lourd de conséquences, contraignant les Etats pauvres à utiliser des formes dégradées de violence, souvent primitives, et échappant quasi-totalement au champ d'application des armes modernes, technologiques des pays riches. L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives ; bref des guerres asymétriques, des guerres terroristes, des guerres déformées par rapport à l'idéal occidental. Cette volonté des Etats riches de se protéger des guerres classiques par la haute technologie, et par l'absence de chance, d'espoir qu'elle laisse à l'adversaire, bloque la possibilité de confrontation directe dans les rapports entre Etats et augmente donc les risques d'affrontements indirects (parfois irrationnels) sous des formes diverses : terrorisme, attaques de terreur, manipulation, etc … Aujourd'hui, nombres de mouvements de contestations divers, nationaux, religieux, idéologiques, se trouvent « bloqués » politiquement face à un Etat frustrant et désespérant, ce qui aboutira logiquement à une déflagration de violence armée disséminée. L'écart technologique entre les Etats-Unis et nombres de pays, engendrera une recherche d'armes de compensation , dont les armes de terreur et l'arme nucléaire. Pour les pays « pauvres », démunis de tout, dans l'impossibilité d'affronter les puissances guerrières « riches » sur le champ de bataille classique, seule la guerre terroriste, révolutionnaire, sera accessible et/ou à l'extrême opposé, une guerre virtuelle, médiatique, une guerre hautement psychologique. Les guerres de demain seront le fait de groupes guerriers, et de moins en moins d'armées régulières, ils s'appuieront sur une aura charismatique et non une institution. En ce début de troisième millénaire, le terrorisme n'est pas un phénomène nouveau, apparu subitement, sans explication ni fondement, mais semble être une réalité multiséculaire, protéiforme, traversant sociétés et espaces, s'adaptant sans cesse. Nous faut-il alors parler de terrorisme, d'actes de guerre, de « guerre terroriste », de guérilla, d'actions subversives, de guerre indirecte, asymétriques ? Le terrorisme paraît n'être qu'une expression d'une somme singulière de particularismes déjà mis en évidence. Loin en effet que les sujets humains, quels qu'ils soient, forment consciemment la structure de la lutte dans laquelle ils se retrouvent ; celle-ci de fait, insidieusement façonne leur conscience propre. La forme particulière de leur lutte violente n'est donc pas modelée uniquement à partir du souhait de ses membres, dicté par leur appartenance à un particularisme idéologique, économique, culturel, ou autre. L'arbitraire de la mémoire/conscience humaine nous le fait bien souvent omettre ; ce n'est pas l'histoire qui est ou doit être raisonnable, mais plus justement, la raison qui est historique. Le terrorisme contemporain est avant tout un phénomène, un processus inscrit dans l'histoire. Il évolue, il mute, mais il reste. Il vient du passé, il participera au futur. Il existe dans l'Histoire de nombreux exemples célèbres de mouvements et d'actes terroristes. Les Zélotes, nommés plus tard les sicarii (les hommes au poignard) par les romains, et surtout, l'exemple le plus célèbre exemple : le mouvement des Fidâ'î. Connus aussi sous le nom des Assassins ou Haschischins ; le mot arabe d'origine est Hachîchîyyîn ; les Fidâ'î forment une secte qui propose une activité et une fidélité politique et religieuse. Le mouvement politico-religieux d'où sont issus les « assassins » est la Chî'iâ, à l'origine le parti d'Ali gendre de Mahomet. Les Fidâ'î (fidâ'iyyùn : celui qui se dévoue ou les Dâ'î, celui qui convoque) visent à frapper par la terreur les opposants à leurs idées et conceptions religieuses et politiques, les adversaires des doctrines ismaéliennes.

Conversation (IV annee) Terrorisme: le déchirement du monde (IVannee)

e terrorisme n'est pas un phénomène nouveau, mais une réalité multiséculaire, protéiforme, traversant sociétés et espaces, s'adaptant sans cesse. Et les guerres de demain seront essentiellement des guerres asymétriques, terroristes et déformées, ne connaissant pas la forme idéale que prône l'Occident. Perspectives. En matière de Relations Internationales, il semble exister trois grands types de situations : stabilité, chaos, et frontière entre stabilité et chaos. Chaos ne signifie pas hasard, mais plus justement un état de désordre d'apparence aléatoire provenant de multiples interactions de forces en présence. C'est entre la stabilité et le chaos, à la « frontière » que des changements majeurs, des transformations radicales se font au travers de l'histoire. Le système international est devenu à la fois le plus instable et le plus « maîtrisé » de tous les systèmes politiques. Certes, les systèmes internationaux ont une vie précaire. L'ordre né de la paix de Westphalie dura cent cinquante ans ; celui du congrès de Vienne, cent ans ; celui de Yalta et de la guerre froide, à peine quarante ans. Combien durera le suivant qui ne sera que le reflet d'un temps ? C'est la fin du monde et de l'univers Clausewitzien fondé uniquement sur les rapports entre les Etats et les Révolutions - et donc aussi la fin des concepts de guerre s'y appliquant. » Chaque modification de l'ordre international entraîne une période de troubles. La guerre de Trente ans résulte du passage de sociétés féodales au système d'Etats, les guerres de la Révolution Française assurèrent la transition vers l'Etat-nation, et le Congrès de Vienne qui marqua leur fin donna naissance à des relations entre nations, d'où la véritable naissance à cette époque des relations internationales, dont l'ordre fut à nouveau bouleversé en 1945 par l'ordre de Yalta puis l'ordre bipolaire qui disparaît en 1989/1991. C'est en quelque sorte la fin du monde et de l'univers Clausewitzien fondé uniquement sur les rapports entre les Etats et les Révolutions. C'est donc aussi la fin des concepts de guerre s'y appliquant. Dans la théorie comme dans la pratique de l'action, l'ordre international ne se concevait qu'au travers de l'intervention des Etats. Les grands équilibres étaient préservés par eux, la guerre étant le mode d'expression et de régulation conflictuel (ordre issu de la paix de Westphalie). La théorie classique des relations internationales repose donc sur l'hypothèse d'un mode uniforme d'articulation et de régulation de l'ordre politique interne et externe, l'Etat étant un acteur assimilable à une entité simple, unique. Or, cette hypothèse omet plusieurs critères, particulièrement le critère culturel comme la situation dans l'espace et dans le temps du fait Etat, mais aussi la très grande diversité des ordres politiques internes, et la multiplication d'acteurs, ou d'actants non-étatiques, sous-étatiques, voire trans-étatiques. La violence revêt alors des habits de légitimité ethnique, idéologique, économique, religieuse ou nationaliste, mais ne provient pas d'un projet politique. Il apparaît que se juxtapose à la multiplicité des conflits localisés, l'hétérogénéité de leurs motivations. « L'intelligence du monde » est donc rendue plus complexe, face aux « turbulences », dans un monde et un ordre post-westphalien. Les instruments de la fin de la guerre froide sont les instruments du vainqueur, ils trouvent désormais leurs limites. Un nombre croissant de pays « pauvres » nous poseront problème, car ils viendront chercher dans des conflits déformés le moyen d'exister. Guerres moins nombreuses alors ? Peut-être. Plus importantes ? Très certainement. La dépréciation stratégique de la guerre devrait conduire, non au marasme des actes de guerre, mais au contraire à leur explosion, en nombre et en horreur face à l'idéal occidental de la non-guerre et de la guerre propre. De même que nous assistons à une déterritorialisation de l'Etat, de l'économie, du pouvoir, nous assistons à une déterritorialisation de la violence armée (délocalisation de la violence) et ce, autant pour des raisons techniques et matérielles, que liées au développement des communications. La régulation stratégique n'existe plus. «... L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives. » Le fossé technologique qui s'élargit entre pays riches et pays pauvres (les guerres s'écoulent « historiquement » des pays pauvres vers les pays riches) sera sans doute lourd de conséquences, contraignant les Etats pauvres à utiliser des formes dégradées de violence, souvent primitives, et échappant quasi-totalement au champ d'application des armes modernes, technologiques des pays riches. L'inégalité des armements conduira à l'apparition de formes de violences nouvelles, dégradées, primitives et exclusives ; bref des guerres asymétriques, des guerres terroristes, des guerres déformées par rapport à l'idéal occidental. Cette volonté des Etats riches de se protéger des guerres classiques par la haute technologie, et par l'absence de chance, d'espoir qu'elle laisse à l'adversaire, bloque la possibilité de confrontation directe dans les rapports entre Etats et augmente donc les risques d'affrontements indirects (parfois irrationnels) sous des formes diverses : terrorisme, attaques de terreur, manipulation, etc … Aujourd'hui, nombres de mouvements de contestations divers, nationaux, religieux, idéologiques, se trouvent « bloqués » politiquement face à un Etat frustrant et désespérant, ce qui aboutira logiquement à une déflagration de violence armée disséminée. L'écart technologique entre les Etats-Unis et nombres de pays, engendrera une recherche d'armes de compensation , dont les armes de terreur et l'arme nucléaire. Pour les pays « pauvres », démunis de tout, dans l'impossibilité d'affronter les puissances guerrières « riches » sur le champ de bataille classique, seule la guerre terroriste, révolutionnaire, sera accessible et/ou à l'extrême opposé, une guerre virtuelle, médiatique, une guerre hautement psychologique. Les guerres de demain seront le fait de groupes guerriers, et de moins en moins d'armées régulières, ils s'appuieront sur une aura charismatique et non une institution. En ce début de troisième millénaire, le terrorisme n'est pas un phénomène nouveau, apparu subitement, sans explication ni fondement, mais semble être une réalité multiséculaire, protéiforme, traversant sociétés et espaces, s'adaptant sans cesse. Nous faut-il alors parler de terrorisme, d'actes de guerre, de « guerre terroriste », de guérilla, d'actions subversives, de guerre indirecte, asymétriques ? Le terrorisme paraît n'être qu'une expression d'une somme singulière de particularismes déjà mis en évidence. Loin en effet que les sujets humains, quels qu'ils soient, forment consciemment la structure de la lutte dans laquelle ils se retrouvent ; celle-ci de fait, insidieusement façonne leur conscience propre. La forme particulière de leur lutte violente n'est donc pas modelée uniquement à partir du souhait de ses membres, dicté par leur appartenance à un particularisme idéologique, économique, culturel, ou autre. L'arbitraire de la mémoire/conscience humaine nous le fait bien souvent omettre ; ce n'est pas l'histoire qui est ou doit être raisonnable, mais plus justement, la raison qui est historique. Le terrorisme contemporain est avant tout un phénomène, un processus inscrit dans l'histoire. Il évolue, il mute, mais il reste. Il vient du passé, il participera au futur. Il existe dans l'Histoire de nombreux exemples célèbres de mouvements et d'actes terroristes. Les Zélotes, nommés plus tard les sicarii (les hommes au poignard) par les romains, et surtout, l'exemple le plus célèbre exemple : le mouvement des Fidâ'î. Connus aussi sous le nom des Assassins ou Haschischins ; le mot arabe d'origine est Hachîchîyyîn ; les Fidâ'î forment une secte qui propose une activité et une fidélité politique et religieuse. Le mouvement politico-religieux d'où sont issus les « assassins » est la Chî'iâ, à l'origine le parti d'Ali gendre de Mahomet. Les Fidâ'î (fidâ'iyyùn : celui qui se dévoue ou les Dâ'î, celui qui convoque) visent à frapper par la terreur les opposants à leurs idées et conceptions religieuses et politiques, les adversaires des doctrines ismaéliennes.

Conversation (IV annee) Sujets de conversation (IVannee)

1. Les Dangers des nouvelles techniques; 2. L’impact positif et negatif sur la vie de la societe; 3. Faut-il moderniser l’ecole secondaire? 4. Les valeurs familiales dans le monde globalise; 5. Le terrorisme dans le spectre de la violence politique; 6. Ma petite patrie; 7. Les Mefaits de la technologie; 8. L’Apertheide sut nos ecrans; 9. Les raisons pour apprendre le francais; 10. L pouvoir des medias.

Actualites (IV annee) Le Président propose une refonte du territoire français, dans une tribune publiée lundi sur le site de l'Elysée. Voici le texte en intégralité

Le Président propose une refonte du territoire français, dans une tribune publiée lundi sur le site de l'Elysée. Voici le texte en intégralité François Hollande propose de ramener de 22 à 14 le nombre de régions métropolitaines, ajoutant que la nouvelle carte sera «soumise au débat parlementaire», dans une tribune à paraître mardi dans la presse quotidienne régionale et déjà en ligne lundi soir sur le site de l'Elysée. Dans cette même tribune, les services du Président publie la nouvelle carte des régions ainsi proposée. «Depuis deux siècles, la République a cherché à concilier l’unité de l’Etat, avec l’exercice le plus libre possible de la démocratie locale. »Mais il a fallu attendre les grandes lois de décentralisation de 1982 sous la Présidence de François Mitterrand, pour élargir les responsabilités des communes et des départements, et faire des régions des collectivités locales à part entière. »Puis sous la présidence de Jacques Chirac, la République décentralisée a été consacrée dans la Constitution. C’était aussi une façon de reconnaître que nos territoires et les élus qui les représentent, ont incontestablement contribué depuis trente ans à la modernisation du pays et à l’amélioration de la vie quotidienne des Français. Le temps est venu de donner une forme nouvelle à cette ambition. Parce que notre organisation territoriale a vieilli et que les strates se sont accumulées. Parce que les moyens de communication, les mutations économiques, les modes de vie ont effacé les limites administratives. Parce que nous devons répondre aux inquiétudes des citoyens qui vivent à l’écart des centres les plus dynamiques et qui redoutent d’être délaissés par l’Etat en milieu rural comme dans les quartiers populaires. »Le temps est donc venu de simplifier et clarifier pour que chacun sache qui décide, qui finance et à partir de quelles ressources.

Les sujets de conversation (IV annee)

1. Les dangers des nouvelles techniques genetiques; 2. L'Immigration impact positif et negatif sur la societe; 3. Faut-il moderniser l'ecole secondaire; 4. Les Valeurs familiales dans le monde globalise; 5. Les mefaits de la technique; 6. Le Pouvoir des medias; 7. Le terrorisme dans le spectre de la violence politique; 8. Ma petite patrie 9. Apartheid sur nos ecrans; 10. Les raisons pour apprendre le francais.

воскресенье, 1 июня 2014 г.

Actualites (IV annee) La tuerie de Bruxelles « montre la réalité de la menace djihadiste » (iv annee)

La tuerie de Bruxelles « montre la réalité de la menace djihadiste » Après l'arrestation à Marseille d'un homme suspecté d'avoir commis la tuerie qui a fait quatre morts samedi 24 mai au Musée juif de Bruxelles, plusieurs voix politiques se sont élevées dimanche pour mettre en garde contre la « menace terroriste » que constituent les djihadistes français ou belges partant se battre en Syrie. Selon Claude Guéant (UMP), ancien ministre de l'intérieur, « cette affaire, malheureusement, est là pour montrer que la réalité de la menace terroriste ou djihadiste, que nous percevons bien depuis quelque temps, est présente » : « Le gouvernement a adopté récemment un plan. Il y a des mesures tout à fait satisfaisantes. Il faut aller plus loin : permettre d'expulser plus facilement les personnes qui représentent des menaces. On ne peut pas expulser des personnes de nationalité française, mais il y en a un nombre non négligeable qui a plusieurs nationalités. Pour ceux-là, je préconise la déchéance de nationalité. » Valérie Pécresse, ancienne ministre UMP, s'est dite « totalement consternée de savoir que l'auteur de cette tuerie abominable, dont le caractère antisémite ne fait aucun doute, était Français ». « Comme tous les Français je suis inquiète de cette situation. Si le gouvernement propose des mesures de lutte contre toutes ces personnes qui vont faire le jihad et reviennent en France, oui, je le soutiendrai, mais (...) alors que la loi pénale arrive en discussion à l'Assemblée, je voudrais savoir ce que Mme Taubira compte faire pour lutter contre le prosélytisme en prison. Dans toutes les prisons d'Ile-de-France, nous savons qu'il y a aujourd'hui un prosélytisme des islamistes radicaux qui doit être empêché. »Xavier Bertrand (UMP), ancien ministre et député de l'Asine, a renchéri : « Les profils comme celui-là représentent un véritable danger pour notre pays.